ÉGOÏSME ET MAUVAISE FOI.

Depuis la création de “J’aime La Grenadine” en 2014, nous ne comptons plus le nombre de fois où nos designs, photos, textes descriptifs de nos produits ont été volés par des “créateurs.trices”, “graphistes”, “tatoueurs.euses”, “entrepreneurs.euses”, “journalistes”, “magazines” et “influencers”. En 2021, nous avons été injustement qualifiés d’égoïstes par un grand magazine féminin (qui se dit “girls support girls”) simplement pour avoir demandé à être crédités pour NOTRE photo qu’ils avaient reposté sans nous mentionner sur leur compte instagram.

Non seulement nos création sont plagiées, mais nous sommes aussi accusés à tort de ne pas être “originaux”… En effet, des “graphistes” vectorisent nos designs (c’est à dire transforment une image pixelisée en une image définie par des trait pour une meilleure qualité) afin de les revendre sous licence (PAYANTE donc!) en leur nom sur des plateformes spécialisées dans le domaine ou à des clients qui leur font totalement confiance pour une charte graphique originale.

Comparaison entre une broche en émail représentant des frites dans un emballage rose avec un cœur rouge, image originale, et une copie en broderie avec un motif similaire sur fond en bois, branding "Momma Mc Designs" en bas à droite.

(Fichier vectorisé vendu sous licence, utilisable pour fabriquer une broderie)
🚫NOUS N’AVONS PAS DONNÉ NOTRE AUTORISATION POUR CELA.

(Fichier vectorisé vendu sous licence)
🚫NOUS N’AVONS PAS DONNÉ NOTRE AUTORISATION POUR CELA.

Une épingle en forme de boîte de frites avec un cœur rouge dessus, montrant une différence entre une version originale et une copie sur fond de couleurs différentes.

(Packaging réalisé et vendu par… UNE AGENCE DE PUBLICITÉ pour son client)
🚫NOUS N’AVONS PAS DONNÉ NOTRE AUTORISATION POUR CELA.

Nous avons mis en place une stratégie rigoureuse pour lutter contre l’usurpation de nos créations (sur les conseils de juristes, d’avocats et l’INPI) : envoi de mise en demeure, signalement aux plateformes, protection de nos designs auprès de l’INPI et actions juridiques si nécessaire.

Une femme porte un débardeur noir avec l'inscription « Je m'en bats les boobs ». Il s'agit d'une photo d'une boutique en ligne montrant aussi la même inscription sur un t-shirt blanc à vendre.
Une broderie avec le texte « Je m'en bats les boobs » sur fond noir avec une bordure rose, montrée seule à gauche, entourée de plusieurs autres copies. À droite, la même broderie affichée seule sur un fond turquoise, avec un texte en haut en français « on casse l'ambiance aussi sur Instagram ! » et en bas la hashtag « #OnRestEOuvert ».

(Photomontage d’un magazine avec NOTRE photo pour leur compte instagram… 0 crédit d’auteur, 0 mention, 0 identification)
🚫NOUS N’AVONS PAS DONNÉ NOTRE AUTORISATION POUR CELA.


Aussi nous subissons régulièrement des attaques verbales injustifiées de la part de personnes (particuliers ET professionnels.elles), qui se sont découverts (en 30 secondes) des compétences en droit d’auteur, droit des marques et des sociétés, et qui n’hésitent pas à nous couvrir d’insultes (par mail ou publiquement sur les réseaux sociaux), sans même prendre la peine de se renseigner sur le Code de la Propriété Intellectuelle auprès de professionnels spécialisés.

Nous sommes profondément reconnaissants envers nos clients.es et abonnés.es qui, grâce à leur sens de l’observation, nous aident à déceler ces contrefaçons et à les éliminer du marché.

Nous remercions également les professionnels.elles qui, après avoir fabriqués des contrefaçons en ignorant notre existence (nos designs, nos dépôts à l’INPI), ont eu la courtoisie de s’excuser et de détruire leurs produits. Et qui ont fait preuve de responsabilité face à cette situation délicate.